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June
2017 , Volume 14 - Issue 2 |
Considerations Ethiques Dans La Prise En Charge Des Patients
Dements
Authors:
Amal Mosbahi
Wael Majdoub
Mariem Beji
Elyes Turki
Service de Médecine légale, Hôpital
universitaire de Kairouan
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Abstract
L'incidence de la pathologie démentielle
augmente avec l'âge. La maladie
d'Alzheimer représente la plus large part
de ces démences. En effet, chez les personnes
atteintes de démence de type Alzheimer
ou des formes apparentées, à un
stade avancé de la maladie, la détérioration
cérébrale est importante et affecte
le fonctionnement intellectuel. Les difficultés
de communication présentes à ce
stade peuvent conduire à une mauvaise compréhension
des souhaits et des besoins des déments
et des directives anticipées sont rarement
disponibles comme aide à la décision.
Des dilemmes éthiques abondent, concernant
la dignité, l'autonomie, l'équité
avec de fréquentes incertitudes
{ propos du caractère approprié
ou non d'investigations complémentaires
et de l'intensité des traitements.
Plusieurs questions alors se posent : Est-ce que
la personne perd son autonomie si elle perd ses
fonctions cognitives? Le dément est-il
une personne s'il a perdu toute autonomie et se
trouve dans une dépendance totale? La lente
fin de vie du dément, grabataire, anorexique,
porteur d'une SNG, perfusé, douloureux,
geignant est-elle tolérable pour nous?
Pour lui? La "prise en charge" d'une
personne démente n'estelle pas toujours
une forme d'acharnement?
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